Pièges à éviter au code

Parmi la liste des 40 questions auxquelles devra répondre le candidat, il n’a le droit qu’à 5 erreurs pour obtenir son examen théorique, et cela est très peu ! Les données officielles du code de la route ne comportent pas moins de 1000 questions sur 9 thèmes différents. Ces questions sont ainsi tirées au sort selon le schéma qui suit : 

• Arrêt et stationnement : 4 questions 
• Croisement et dépassement : 5 questions
• Eco-mobilité et éco-conduite : 2 questions
• Règles de priorité : 6 questions
• Règles de circulation : 3 questions
• Signalisation verticale et horizontale : 6 questions
• Tunnels et passages à niveau : 2 questions
• Usagers vulnérables et partage de la route : 2 questions
• Visibilité et éclairage : 3 questions
• Conscience du risque : 2 questions
• Divers : 5 questions

Ces 40 questions posées au candidat sous forme de QCM sont à choix multiple. Ainsi, la réflexion et l’entraînement sont indispensables au futur conducteur pour ne pas tomber dans un piège ! Des situations concrètes sont en effet soumises au candidat, qui a alors un temps limité pour y répondre au moyen d’une tablette ou d’un boîtiere. Dans les faits, il est indispensable de réviser l’intégralité du programme pour être préparé au mieux. L’examen blanc du code de la route est également un bon moyen pour se mettre en situation et se sentir prêt le jour J ! 

Une bonne majorité des questions du code de la route comportent un piège. Seule la réflexion et la maturité du candidat face à cet examen lui permettront d’en tirer profit et d’éviter de tomber dedans ! Les questions peuvent prendre 3 formes différentes : 

• Le candidat doit se mettre dans la peau de l’usager, c’est à dire du conducteur.
• Le candidat doit observer la situation imagée et répondre ensuite à la question.
• La candidat doit lire et répondre à la question, car l’image sert simplement d’illustration.

De manière générale, on considère qu’il existe trois catégories de questions piège auxquelles le candidat doit rester particulièrement attentif : 

• Bien différencier le “je dois” et le “je peux” : en bref, ai-je l’obligation de le faire ou non ? Le candidat doit faire la différence entre ce qu’il “doit” obligatoirement faire, c’est à dire laisser la priorité à un piéton qui s’engage sur un passage piéton, et ce qu’il “peut” faire, c’est à dire lui faire des appels de phare pour lui indiquer qu’il lui laisse la priorité. Il s’agit donc de bien distinguer l’obligation de la possibilité !
  
  
  
• Trouver l’élément perturbateur au sein de la question : un indice caché dans la photo peut être rapidement occulté du candidat s’il ne prend pas le temps de bien analyser la situation. Le moindre détail, même au second plan ou en marge de la photo, peut changer la réponse à la question ! 
• La question en deux parties : lorsque deux interrogations sont posées au sein de la même question, il est impératif de répondre de manière juste aux deux parties distinctes. Ainsi, même si le temps imparti semble court, il faut prendre le temps de réfléchir aux deux questions en intégrant bien l’ensemble des données !